« Jésus reste ma joie, ma consolation et la sève de mon cœur »?: c’est par ces mots que le pasteur luthérien suisse Marc Seiler a choisi de traduire la célèbre cantate de Jean-Sébastien Bach BWV 147, plus connue sous le nom « Jésus, que ma joie demeure ».
Passionné par les compositions du Cantor de Leipzig, et constatant qu’il n’existait pas vraiment de bonne traduction, Marc Seiler s’est en effet lancé, en 2003, dans le vaste chantier de restituer dans un « français accessible » plus de 200 cantates composées pour le culte par Jean-Sébastien Bach (1685-1750). Lire le reste de l'article sur le site de La Croix.
Marc Seiler nous fera voyager dans l'univers musical du Cantor de Leipzig en nous faisant découvrir les résonances profondes, les ouvertures lumineuses de la cantate BWV 70.
Temple de la Rue Maguelone, en face de la Gare St-Roch. (Tram 1-4)