Prédications

 Le messager qui parlait avec moi revint et me réveilla comme un homme que l’on réveille de son sommeil. Il me dit : Que vois-tu ? Je répondis : Je vois un porte-lampes tout en or avec un réservoir à son sommet et sept lampes dessus. Il y a sept becs sur les sept lampes qui sont à son sommet ; deux oliviers le surplombent, l’un à la droite du réservoir, et l’autre à sa gauche. Je demandai au messager qui parlait avec moi : Qu’est-ce donc, mon seigneur ?  Le messager me répondit : Ne sais-tu pas ce que c’est ?  Je dis : Non, mon seigneur. Alors il me dit :Voici la parole du Seigneur pour Zorobabel :Ce n’est pas par la puissance, ce n’est pas par la force, mais c’est par mon souffle, dit le Seigneur (YHWH) des Armées.
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Ces sept lampes sont les yeux du Seigne....
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La première mention d’une maladie dans la Bible a lieu en Genèse 48:1. C’est Jacob qui est touché. On ne sait de quoi il souffre, mais cela le conduit à une situation de faible, à une dégradation de sa santé qui va conduire à sa mort.
Il n’y a pas de révolte contre cette maladie, dans ce texte. Il n’y a pas non plus de soins prodigués. En apprenant la maladie de son père, Joseph prend avec lui ses deux fils et il se rend chez Jacob qui, en les voyant, rassemble ses forces et prononcera des bénédictions. Probablement Jacob est-il atteint par la vieillesse et, rassasié de jours, chacun considÃ....
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Seigneur, lui dit la femme, je vois que, toi, tu es prophète. Nos pères ont adoré sur cette montagne ; vous, vous dites que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. Jésus lui dit : Femme, crois-moi, l’heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. Vous, vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l’heure vient – c’est maintenant – où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car tels sont les adorateurs que le Père cherche. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité.Â
Jean 4, 19-24 (traduction Nouvelle Bible Segond)Â Â
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Avant cette pandémie, nous nous sommes habitués, pour la grande majorité d’entre nous, à ce que la médecine nous offre de suite un médicament pouvant traiter la maladie qui nous saisissait. Confrontés à un dysfonctionnement de notre corps, il nous semblait normal que le personnel soignant ait à sa disposition les moyens nous permettant de retrouver la santé. Les acquis médicaux nous paraissaient si solides que nous nous sentions intrépides, parés pour affronter n’importe quels microbes.
Or aujourd’hui, avec ce nouveau virus pour lequel nous n’avons pas encore de vaccins,  nous réalisons que cette intrépidité apportée par le progrès a aussi un revers. En m’inspirant du théologien L. G....
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Paul et Timothée, esclaves de Jésus-Christ, à tous ceux qui, à Philippes, sont saints en Jésus-Christ, aux épiscopes et aux ministres : Grâce et paix à vous de la part de Dieu, notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ ! Je rends grâce à mon Dieu toutes les fois que je me souviens de vous ; je ne cesse, dans toutes mes prières pour vous tous, de prier avec joie, à cause de la part que vous prenez à la bonne nouvelle, depuis le premier jour jusqu’à maintenant. Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne en poursuivra l’achèvement jusqu’au jour de Jésus-Christ. Il est juste que j’aie pour vous tous de telles pensées, parce que je vous porte dans mon cœur et que, dans ma condition de prisonnier comme dans la défense et la confirmation de la bonne nouvelle, vous avez tous part à la même grâce que moi. Dieu m’est témoin, en effet, que j’ai une vive affection pour vous tous, la tendresse mêm....
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Quand on pense santé, on pense souvent santé d’un corps individuel que ce soit la santé physique, psychique ou spirituelle. Mais il y a aussi la santé d’un corps collectif, d’un corps social qui peut être parfois un grand corps malade. La pandémie du coronavirus a révélé d’autres maladies déjà là . Une maladie étant dérèglèment d’un écosystème, pour un corps social les symptômes qu’on appelle « crises , sont conséquents à des formes d’économies abusant des humains, des non-humains et des milieux naturels.
Aujourd’hui la crise alimentaire est l’un des symptômes de ces dérèglements. À Naples ceux qui ont encore à manger suspendent des paniers pour secourir cel....
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Si tu vois s’égarer le bœuf de ton frère, son mouton ou sa chèvre, tu ne t’esquiveras pas : tu ne manqueras pas de les ramener à ton frère. Si ton frère n’habite pas près de toi, et que tu ne le connaisses pas, tu recueilleras l’animal dans ta maison, et il restera chez toi jusqu’à ce que ton frère le réclame ; alors tu le lui rendras. Tu feras de même pour son âne, tu feras de même pour son manteau, tu feras de même pour tout ce que ton frère a perdu et que tu as trouvé ; tu ne pourras pas t’esquiver. Si tu vois l’âne de ton frère ou son bœuf tomber en chemin, tu ne t’esquiveras pas : tu l’aideras à le relever.
Deutéronome 22, 1-4 (traduction Nouvelle Bible Segond)Â
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En effet, ce n’est pas sur nous-mêmes que porte notre proclamation : nous proclamons que Jésus-Christ est le Seigneur, et que nous-mêmes sommes vos esclaves à cause de Jésus. Car le Dieu qui a dit : « Du sein des ténèbres brillera la lumière » ce Dieu-là a brillé dans notre cœur, pour que resplendisse la connaissance de la gloire de Dieu sur le visage du Christ. Mais nous portons ce trésor dans des vases de terre, pour que cette puissance supérieure soit celle de Dieu et non la nôtre. Nous sommes pressés de toute manière, mais non pas écrasés ; désemparés, mais non pas désespérés ; persécutés, mais non pas abandonnés ; abattus, mais non pas perdus ; nous portons toujours avec nous, dans notre corps, la mort de Jésus, pour que la vie de Jésus aussi se manifeste dans notre corps. Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, pour que la v....
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Comme s’accomplissait le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble en un même lieu. Tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d’un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues leur apparurent, qui semblaient de feu et qui se séparaient les unes des autres ; il s’en posa sur chacun d’eux. 4Ils furent tous remplis d’Esprit saint et se mirent à parler en d’autres langues, selon ce que l’Esprit leur donnait d’énoncer. Or des Juifs pieux de toutes les nations qui sont sous le ciel habitaient Jérusalem. Au bruit qui se produisit, la multitude accourut et fut bouleversée, parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue. Etonnés, stupéfaits, ils disaient : Ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens ? Comment se fait-il que chacun de nous les entende dans sa langue maternelle ? Parthes, Mèdes, Elamites, habitants de Mésopotamie, de ....
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Une formidable espérance… oui ! malgré nos doutes, Jésus offre l’espérance de l’Esprit saint.
Rassemblés plus par la peur que par la foi ceux qui ont choisi de suivre Jésus, ceux qui ont vus les derniers instants se voient offert l’Esprit Saint. Après les pleurs, les doutes… l’espérance. Dans leur humanité, leurs forces et leurs faiblesses, ces disciples se ressemblent et nous leur ressemblons. Jésus vient à leur rencontre. Il NOUS prend comme nous sommes, là où nous sommes. Il les envoie et il nous envoie à notre tour.
Une porte s’ouvre : celle de la communion fraternelle. Cette porte est celle du temple où, ensemble, nous venons vivre notre foi, ses comb....
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- Reprendre la vie quotidienne !
- Les rameaux
- Cheminer vers Pâques
- Ne vous inquiétez pas du lendemain, car le lendemain s'inquiétera de lui-même. À chaque jour suffit sa peine
- L’offrande de la pauvre veuve : seulement et tellement !
- Au cÅ“ur de la crise, faire alliance avec une intelligence insondableÂ
- Ninive… une histoire à poursuivre
- Au début, il n'y a pas la dette, mais une remise de dette
- Enfin, après le feu, le son d’un silence subtil
- Des évidences bousculées !